canapey-jean

 Le PROZAC, médicament antidépresseur permettant de faire face à la déprime et à l'épuisement psychologique est  certainement utilisé par des ciblés individuels. Les effets secondaires liés à l'utilisation fréquente de ce médicament sont très nombreux et effrayement inquiétants, dans la mesure ou n'ayant personnellement jamais pris de Prozac, j'éprouve périodiquement plus de la moitié des effets secondaires indésirables de ce médicament, voir la liste de ces effets sur Eurekasanté.fr http://www.eurekasante.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-mproza01-PROZAC.html et  www.doctissimo.fr/medicament-PROZAC.htm

Chaque nuit , je suis réveillé 2 ou 3 fois par les ondes ciblées, des décharges électriques à la fréquence

d’une à 2 fois par semaine. Des douleurs à la jambe droite avec un durcissement de la cheville au haut du mollet ,

des crampes assez fréquentes.

J’ai souvent le nez bouché la nuit, le nez se bouche complètement en 2 ou 3 heures avec un impossibilité de respirer,

je me lève aussi avec des fortes envies d’uriner.

J’ai fixé l’heure de mon réveil à 5 h 30, En me levant, parfois avec une forte crampe au milieu du mollet de la jambe

droite qui me fait pousser un hurlement, j’ai des picotements sur toute la surface du crâne comme des piqûres d’aiguilles

enfoncées tous les cm, et des irritations plus fines sur les côtés de la tête , depuis les tempes jusqu’à l’arrière des oreilles,( certainement l’hippocampe ).

Ma démarche , en quittant mon lit est très déséquilibrée et je dois me tenir aux meubles pour ne pas tomber,

cela dure sur 3 m puis la démarche devient moins hésitante. J’ai une sensation de forte fatigue au lever presque autant au coucher, voire plus.

Au petit déjeuner, après avoir fait coulé mon café,et juste à ce moment précis, j’ai une envie subite d’aller à la selle,

mon café se refroidit pendant ce temps et au retour des toilettes je dois le réchauffer.

Continuant à préparer mon petit déjeuner j’ai une certaine stimulation sexuelle sans raison

et me paraissant tout à fait étrangère à moi .

Dans ma cuisine pendant la préparation des 3 repas de la journée et surtout en ayant aucune pensée en relation avec cette envie,

Je pense que les neurologues chercheurs ont le dessein de mélanger dans mon esprit l’appétence sexuelle et l’appétence alimentaire;

En buvant mon café lorsqu’il n’est pas froid , j’ai beaucoup de difficulté à avaler ma boisson chaude,

avec des sensations de brûlures dans la bouche pour une boisson tout juste chaude.

Après mon petit déjeuner, je fais un brin de vaisselle et j’ai une nouvelle stimulation sexuelle ,

sans aucune raison entre 7 h et 7 h 30 tous les matins; avant de partir travailler et pour échapper à l’anxiété

du doute d’avoir oublier quelque chose (doute instillé par les chercheurs), je vérifie 2 à 3 fois les fermetures des portes ,

de la lumière, des robinets , des fenêtres, systématiquement tous les jours et il m’arrive plus que quelquefois de retourner

chez moi après avoir fait une partie du trajet pour vérifier si j’ai fermé un robinet ou une porte.

Mais , les chercheurs me font réellement oublié quelquefois mes papiers , mes lunettes, ma carte d’accès à mon lieu de travail et je m’en aperçois seulement à

mon arrivée sur mon lieu de travail et je fais alors le même trajet pour retourner chez moi .

L’anxiété résultant de ces manipulations mentales devient une véritable torture quotidienne avec des poussées d’angoisse auxquelles ,

je n’ai toujours pas trouvé de parades.

Arrivé sur mon lieu de travail, je regarde à 3 fois si j’ai serré le frein à main de ma voiture la première vitesse enclenchée,

si les portières sont fermées, si je n’ai oublié mes papiers , mes clés et mes lunettes et mon badge d’accès dans ma voiture

systématiquement tous les jours;  Je franchis la porte d’accès sécurisée et j’accède à mon bureau.

J’allume mon PC et je commence mes tâches quotidiennes; dès que j’éprouve une difficulté qui m’incite à faire un effort de réflexion

ou à faire un choix entre plusieurs solutions, j’ai subitement une très forte envie impérieuse d’uriner et simultanément et brusquement

et je sens de puissants sifflements aux oreilles et un impression d’intenses rayonnements d’ondes sur la tête.

Je résiste autant que possible puis je descends à l’étage inférieur pour uriner,

J’ai en moyenne, dans la journée 2 à 3 envies urgentes d’uriner et plus des envies d’uriner qualifiables de normales.

Quasiment à chaque fois que je manipule de l’argent en numéraires, au moment au j’ai un grand

nombre de billets de banque étalés devant moi, je dois m’absenter pour uriner après une très forte envie

et laisser l’argent sans surveillance, la quantité d’urine versée étant toujours très faible, inférieure à 5 cl.

Par ailleurs, pendant mon travail, je dois toujours redoubler d’attention à ce que je fais, car les chercheurs , sans cesse,

me poussent à faire des confusions et m ‘induisent en erreur au moindre relâchement de vigilance,

m’incitant à vérifier 2 à 3 fois chaque tâche effectuées.

Les chercheurs essaient de provoquer la mésentente avec mes collègues et je dois être très prudent

dans mes réactions et ma façon de répondre pour ne pas briser l’entente qu’il y a entre nous.

Sur le trajet retour de mon travail , très souvent je suis sujet à des poussés brusques de narcolepsie

et souvent je rouvre les yeux juste au moment suffisant pour ne pas aller dans le fossé sur le bas côté de la route ,

ou à l’inverse pour ne pas percuter le véhicule venant en face et anxiété est grande pour moi à la pensée de refermer

les yeux sans savoir ce qui va se passer en les rouvrant.

Les chercheurs créent ces accès de narcolepsie en stimulant brusquement la sécrétion de mélatonine^,

hormone du sommeil, par inhibition de sécrétion de sérotonine dans la glande pinéale.

Ces envies de dormir arrivent aussi à toute heure, avec un degré de gravité moindre à toute heure chez moi,

et aussi au travail, faisant croire à mes collègues que je dors pendant mes heures de travail

créant un sentiment de désapprobation à mon égard.

En rentrant chez moi, je dine en entendant de forts sifflements de très haute fréquence

qui échauffent la tête et les bras ; des picotements sur toute la surface du corps .

Après souper je vais sur internet, j’ouvre ma boîte mail, j’ai de nombreuses attaques sur mon PC.

Chaque fois que je veux ouvrir un page google chrome,  je suis sans cesse perturbé en tapant sur mon clavier

ou les chercheurs m’empêchent constamment d’ écrire.

En allant me coucher, je mets ma casquette à 15 aimants néodyme, mes 2 boules Quies dans les oreilles recouvre

ma casquette de 2 voiles anti-ondes en tissu , un bandeau oculaire avec 3 aimants

( pour éviter d’avoir les yeux qui piquent et les arcades sourcilières enflammées au réveil)

et un bracelet au poignet branché sur une prise terre pour évacuer le trop électricité reçu dans le corps par l’implant,

et je peux dire que j’ai presque des nuits de sommeil normales mise à part les rêves que je fais et qui ne sont pas les miens

et dont je me rappelle tout juste la trame au réveil et dont le souvenir s’évanouit quelques quart d’heure plus tard, ( à suivre….. )

Périodiquement, je suis menacé de mort par le recherche sur le cerveau, toujours à partir de voix entendues dans mon oreille interne. Pendant plusieurs mois dans les années 1980, j'ai été harcelé pendant de longues heures, puis par intermittence tous les 6 heures même pendant la nuit par des voix surtout féminines qui disaient réellement "ils vont le tuer" faisant croire que c'était de moi que l'on parlait, et comme s'adressant à d'autres personnes de même niveau parlant d'une décision prise par la hiérarchie (sous-entendu les membres du comité de recherche). Ces mots étaient prononcés et entendus par moi uniquement plusieurs fois par heure et pendant plusieurs mois au point que je ne dormais plus la nuit, épuisé physiquement et mentalement, je suis allé consulter un psychiatre qui m'a rassurer en me disant simplement " non, ils ne vont pas le faire" sans chercher à comprendre quelle était l'origine de ma état d'anxiété fébrile face à une menace constante quoique virtuelle, mais constituant par sa répétition une psychose que je n'arrivais pas à surmonter , dont l'origine était l'envoi d'ondes éléctromagnétiques sur mes nerfs auditifs pour provoquer une réaction d'agressivité par compensation de la menace virtuelle dont j'étais l'objet.

Car même si je n'étais pas persuadé que la menace allait aboutir, le stress causé par l'évocation d'une  menace de mort répétée qui à chaque répétition devenait plus directionnelle générait en moi des pointes d'angoisses se stabilisant par une anxiété permanente. Surtout

 que le vocabulaire employé par les opératrices variait au fil des heures De " c'a y est, maintenant ils vont le tuer" à " ils ont décidé de le tuer " - " oui, ils le tuent " - " c'est maintenant qu'ils vont le tuer ' Puis à des échanges d' ordre, du genre " tues-le "  " mais tues-le , je te dis " mais laissant croire que c'était par charité d'âme qu'ils renoncaient temporairement à passer à l'acte, mais que ce n'était qu'un sursis.

Ces dernières années ,de façon périodique , ils me laissent supposer qu'ils n'ont pas totalement renoncer à  l'idée, me font sentir une lointaine volonté secrète d'accomplir leur virtuel dessein provoquant en moi un sentiment d'insécurité intermittent mais sana intime conviction, de ma part, d'un risque potentiel.

J'ai été sérieusement attaqué cette nuit dans mon sommeil par les Chercheurs  vers 3 h 30, par une vague de micro -ondes de sonorité très aigus d'intensité beaucoup plus forte que d'habitude; la radiation a duré 5 à 6 minutes ma nuit de sommeil a été sensiblement écourté, je me suis recouché après avoir mis des bouchons auriculaires plus épais, mais le sommeil n'étais plus le même. Pendant la journée, les tentatives d'affaiblissement physique par les ondes se poursuivent constamment par ramollissement du cou, les ondes pénètrent par les oreilles, descendent le long des carotides, touchent la glande thyroïde, poursuivent le long des clavicules arrivent sous les aisselles ou elle enflent les ganglions lymphatiques me donnant l'impression d'avoir des boules sous les aisselles (comme des balles de ping-pong); cela crée une forme d'adénopathie  qui affaiblit virtuellement le système immunitaire; j'ai ainsi des maux de gorge très fréquents des rhumes constants le jour, une gorge très irritée et le nez complètement bouché avec un impossibilité de respirer la nuit, Les chercheurs persistent ensuite, en provoquant avant chaque repas systématiquement des accès de colère en stimulant la sécrétion brutale d'adrénaline, l'effet est d'affaiblir le foie qui fonctionne alors plus lentement pendant la digestion, ce qui est à l'origine, en partie de ma stéatose hépatique actuelle,

De façon simultanée à ces problèmes physiques, le harcèlement moral est constant et me suit dans tous les moments de la vie; mes intentions sont su à l'avance par lecture dans mes pensées, sachant que je suis l'objet d'une surveillance constante je me sens contraint de modifier souvent les directions de mes intentions, ce qui ralentit mes gestes pour échapper à leur infaillible dessein qui est d'altérer et d'empêcher l'aboutissement de mes moindres projets ;très souvent je me sens atteint, malgré-moi d'un découragement fréquent pour sortir et rejoindre ma famille ou mes amis, confortant ainsi mon isolement social,

Dans ma démarche quotidienne pour accomplir les tâches élémentaires de la vie, ils éparpillent mes pensées et interrompent le développement de mes idées retardant l'accomplissement de ce que je prévois de faire, à court terme, me neutralise la mémoire moyenne pour que j'oublie des choses importantes à régler pour ne pas être dans le besoin et me rappelle à l'instant présent des éléments enfouis dans ma mémoire de moments difficiles de ma vie pour mes stresser davantage,ainsi ils empêchent tout déroulement constructif de mes moindres projets même les plus simples,

J'ai été sérieusement attaqué cette nuit dans mon sommeil par les Chercheurs  vers 3 h 30, par une vague de micro -ondes de sonorité très aigus d'intensité beaucoup plus forte que d'habitude; la radiation a duré 5 à 6 minutes ma nuit de sommeil a été sensiblement écourté, je me suis recouché après avoir mis des bouchons auriculaires plus épais, mais le sommeil n'étais plus le même. Pendant la journée, les tentatives d'affaiblissement physique par les ondes se poursuivent constamment par ramollissement du cou, les ondes pénètrent par les oreilles, descendent le long des carotides, touchent la glande thyroïde, poursuivent le long des clavicules arrivent sous les aisselles ou elle enflent les ganglions lymphatiques me donnant l'impression d'avoir des boules sous les aisselles (comme des balles de ping-pong); cela crée une forme d'adénopathie  qui affaiblit virtuellement le système immunitaire; j'ai ainsi des maux de gorge très fréquents des rhumes constant