canapey-jean

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MENACE DE MORT PAR LA RECHERCHE

Périodiquement, je suis menacé de mort par le recherche sur le cerveau, toujours à partir de voix entendues dans mon oreille interne. Pendant plusieurs mois dans les années 1980, j'ai été harcelé pendant de longues heures, puis par intermittence tous les 6 heures même pendant la nuit par des voix surtout féminines qui disaient réellement "ils vont le tuer" faisant croire que c'était de moi que l'on parlait, et comme s'adressant à d'autres personnes de même niveau parlant d'une décision prise par la hiérarchie (sous-entendu les membres du comité de recherche). Ces mots étaient prononcés et entendus par moi uniquement plusieurs fois par heure et pendant plusieurs mois au point que je ne dormais plus la nuit, épuisé physiquement et mentalement, je suis allé consulter un psychiatre qui m'a rassurer en me disant simplement " non, ils ne vont pas le faire" sans chercher à comprendre quelle était l'origine de ma état d'anxiété fébrile face à une menace constante quoique virtuelle, mais constituant par sa répétition une psychose que je n'arrivais pas à surmonter , dont l'origine était l'envoi d'ondes éléctromagnétiques sur mes nerfs auditifs pour provoquer une réaction d'agressivité par compensation de la menace virtuelle dont j'étais l'objet.

Car même si je n'étais pas persuadé que la menace allait aboutir, le stress causé par l'évocation d'une  menace de mort répétée qui à chaque répétition devenait plus directionnelle générait en moi des pointes d'angoisses se stabilisant par une anxiété permanente. Surtout

 que le vocabulaire employé par les opératrices variait au fil des heures De " c'a y est, maintenant ils vont le tuer" à " ils ont décidé de le tuer " - " oui, ils le tuent " - " c'est maintenant qu'ils vont le tuer ' Puis à des échanges d' ordre, du genre " tues-le "  " mais tues-le , je te dis " mais laissant croire que c'était par charité d'âme qu'ils renoncaient temporairement à passer à l'acte, mais que ce n'était qu'un sursis.

Ces dernières années ,de façon périodique , ils me laissent supposer qu'ils n'ont pas totalement renoncer à  l'idée, me font sentir une lointaine volonté secrète d'accomplir leur virtuel dessein provoquant en moi un sentiment d'insécurité intermittent mais sana intime conviction, de ma part, d'un risque potentiel.



25/12/2014
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